Avec la mondialisation et la prise de conscience sur les problématiques de discrimination ordinaire, la présence des minorités dans la communication est devenue une volonté de la part des médias et des marques, pour contribuer à une société plus inclusive. Pourtant, cette mission reste délicate car il est difficile de trouver des façons créatives d’en parler, sans produire des stéréotypes qui enferment encore plus les personnes concernées.
Je suis persuadée que faire rêver est le meilleur moyen pour faire passer des messages de façon non offensive et permettre aux enfants et aux anciens enfants de rêver au-delà de la limite du genre, du milieu social, de l’apparence physique ou des origines.